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Forum Posts

Francois Gautier
Dec 11, 2023
In General Discussion
C’est à Bangalore, dans le sud de l’Inde, que vient de se dérouler un symposium de pranayama, auquel ont participé 200 délégués venus du monde entier. Le pranayama, du Sanskrit prana = souffle, c’est la science de la respiration que les Indiens ont perfectionnée depuis quatre mille ans. Ils affirment par exemple que le prana circule dans tout le corps et que l’on peut respirer non seulement par le nez, par la bouche et même par le ventre, mais aussi à travers n’importe quelle partie de notre corps, faisant ainsi circuler le prana, l’énergie vitale, dans tout l’être physique. Ainsi, toujours d’après les Indiens, le prana pourrait revitaliser toute ces parties de notre corps qui ne reçoivent pas assez d’énergie et qui en conséquence s’affaiblissent et perdent de leur vigueur, tels les yeux par exemple.  » Le prana est partout, explique Sri Ravi Shankar, un yogi de pranayama: dans l’air qui nous entoure, bien sûr, mais aussi dans les animaux, le végétal, le minéral même. On le trouve également dans notre nourriture. Aujourd’hui on parle de vitamines, de protéines, de calories; mais en réalité, c’est le prana dans la nourriture qui nous donne notre énergie; et la qualité de ce prana dépend du genre de nourriture que nous consommons « . Les bouddhistes ont fait de l’observation de la respiration la technique centrale de leur méditation. Les premiers exercices de pranayama consistent à donc observer votre respiration, à sentir par exemple comme elle est fraîche lorsqu’elle pénètre les narines, puis chaude lorsqu’elle en ressort.  » Eprouvez son volume, enjoint Ravi Shankar; remarquez comme vous respirez tantôt par une narine, tantôt par l’autre; observez comment la respiration fait demi tour entre les deux sourcils, ce que nous appelons le troisième oeil, avant de redescendre vers la gorge. Constatez que chaque émotion a ses rythmes respiratoires. Vous avez sûrement remarqué par exemple que la respiration devient saccadée lorsque l’on est en colère, alors qu’au contraire, elle s’atténue lors d’un sentiment de tristesse. Remarquez aussi comment à chaque rythme respiratoire correspond une sensation sur le corps. Le siège de la colère est dans le ventre par exemple, alors que celui de la peur est dans le coeur « . Et il conclue:  » En contrôlant votre respiration, vous allez pourvoir commencer à maîtriser vos émotions « . Alors, vous gardez les yeux fermés et tout d’un coup, vous devenez vraiment la respiration:  » Soyez avec votre respiration à chaque moment, conseille Sri Ravi Shankar, remarquez comment le mental part toujours à la dérive: soit en arrière, revivant, regrettant, refaçonnant le passé; soit en avant, anticipant le futur, que ce soit avec anxiété ou avec excitation. Et nous ne sommes jamais dans le moment présent, c’est à dire dans la respiration. Mais si vous êtes dans le moment présent, conscient de votre respiration, vous réaliserez vite que le mental et le physique sont un: Energie = Matière. Et si vous-vous concentrez sur la respiration de plus en plus, vous remarquerez que vous êtes doté d’une énergie inépuisable et que vous avez acquis un remarquable pouvoir de concentration. Sri Ravi Shankar ajoute  » que si vous êtes capables de remonter le cours de la respiration, vous-vous rendrez compte qu’elle est source de paix et de sérénité. C’est d’elle que les poètes, les musiciens, les peintres, les philosophes tirent leur ‘ inspiration’, comme ils le disent si bien, sans vraiment comprendre le sens profond et caché de ce mot « . La pratique du pranayama se veut très cartésienne. L’Institut National de Neurosciences de Bangalore, l’un des plus réputés en Asie, dirigé par les Professeurs Meti et Raju, assistés du Chef de Service psychiatrique, le Dr Venkatesha Murthy, a étudié pour la première fois au monde, les effets du pranayama sur 80 patients souffrant de problèmes psychiques: dépressions, anorexie, insomnies, obésité, alcoolisme… Pour ce faire, la moitié des malades ont continué de recevoir le traitement normal, électrochocs, sédation, suivi psychiatrique, alors que l’autre moitié a été uniquement soumise pendant trois mois, à deux heures quotidiennes de pranayama. C’est la méthode P300 (Positive Electrical Wave), qui a été utilisée pour mesurer les réactions du cerveau, grâce à des électrodes, qui furent placés à différents endroits, dont sur le vertex du crâne et sur le lobe gauche de l’oreille. Trente millisecondes, après les stimulations, on étudia en nano-volts, les réponses auditives et somato-sensorielles. Les latences (c’est à dire le délai entre le stimulus et la réponse du sujet), auditives moyenne et somato-sensorielles, décroissent considérablement après les exercices de pranayama, et on note également un ralentissement de la respiration et du rythme cardiaque. En gros, cela veut dire que les 40 premiers patients soumis au pranayama, montrèrent après trois mois une telle amélioration de leurs symptômes qu’on permit à un tiers de retourner chez eux,  » alors que, souligne le Professeur Metti, les 40 autres sont toujours avec nous « . L’année prochaine, le Professeur Mette et son équipe voudraient soumettre les résultats définitifs de leur expérience auprès d’un grand Congrès International de médecine et de psychiatrie. Les Indiens prétendent que grâce au pranayama, leurs yogis sont non seulement capables de maîtriser leurs émotions par le contrôle de la respiration, mais aussi de commander leur corps à volonté. C’est ainsi que l’on peut voir dans les Himalaya en hiver de nombreux sadhous qui se baignent dans les torrents glacés et que certains yogis affirment être capables de ralentir leur respiration jusqu’à un fils si ténu,  » que l’on peut croire qu’ils sont morts « . Le film  » Le Grand Bleu « , a vulgarisé l’utilisation du pranayama pour les sportifs. rappelez-vous comment le héros fait toute une série d’exercices respiratoires connus en Inde sous le nom de  » Viloma « , afin d’emmagasiner plus d’air dans ses poumons, avant de briser un record mondial d’apnée. Mais aujourd’hui de nombreux sportifs dans le monde, en particulier aux Etats-Unis, utilisent le pranayama pour améliorer leurs performances.  » Non seulement vous augmentez considérablement votre capacité pulmonaire, commente M Shankar, mais vous pouvez libérer le mental de tout trac et trouver une sérénité propre aux exploits « . Les Américains ont également inclus des exercices de pranayama lors de retraites de cadres et les autorités indiennes l’utilisent même dans les prisons. CRITIQUE DU PRANAYAMA PAR LE PROFESSEUR BERNARD LEBEAU, CHEF DU SERVICE DE PNEUMOLOGIE DE (ET PATRON) DE L’HOPITAL ST.ANTOINE DE PARIS La respiration est bien énergie vitale, puisqu’on perd la vie à son dernier soupir. Cependant, il y a trop souvent confusion entre respiration et ventilation, car celle-ci n’est que le fait d’un certain nombre d’espèces animales. Chez l’humain, la ventilation constitue le premier temps de la respiration et est suivie du transfert des gaz ventilés du milieu aérien au milieu sanguin, du transport de ces gaz par l’appareil circulatoire, puis de leur transfert du sang aux tissus, à l’intérieur de la cellule. La respiration fait donc intervenir le nez, la bouche, le ventre (par les muscles respiratoires) et la circulation. Il est donc vrai qu’elle est sous la direction du système nerveux et qu’elle peut être commandée. Dans les espèces animales inférieures et dans le monde végétal, la respiration existe mais sans appareil ventilatoire, souvent par simple diffusion, directement à partir du milieu ambiant, ou à l’aide d’un système circulatoire. Par contre, la respiration caractéristique de la vie n’existe pas dans le monde minéral inerte. L’apport d’oxygène est donc nécessaire à la vie et cette connaissance intuitive des anciens est merveilleuse, car cette notion n’est pas concrète. Que la nourriture soit aussi source d’énergie vitale, relève par contre d’une banale évidence. Les exercices de pranayama me paraissent assez proches de la kinésithérapie respiratoire. Comme Monsieur Jourdain et sa prose, les asthmatiques et les insuffisants respiratoires font du  » pranayama  » sans leur savoir au cours de leurs séances de rééducation. Et que revive le Grand Mamamouchi ! Le pranayama se veut cartésien, mais la méthodologie de l’essai présenté par nos collègues indous, nécessiterait une analyse rigoureuse avant de valider ses résultats. Répandre une fausse-vérité médicale peut aboutir à des catastrophes individuelles. On ne guérit pas un cancer au moyen de médecines parallèles. L’esprit contrôle le corps, mais il n’a pas tous les pouvoirs. L’étude physiologique de la plongé en apnée démontre que les exercices de  » Viloma  » n’augmentent pas la quantité d’air contenue dans le poumons; par contre, l’hyperventilation respiratoire préparatoire à la plongée induit une alcalose qui retardera autant que faire se peut la souffrance acidosique des tissus. En conclusion, gardons le sens critique. Ici comme ailleurs, il y a vérité, l’interprétation de la vérité, puis l’utilisation de cette interprétation. PR Lebeau
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Francois Gautier
Dec 11, 2023
In General Discussion
Comment êtes-vous arrivée ici?Mes parents sont venus en Inde séparément pour Auroville et ils sont restés, car ils ont aimé cet idéal e je suis donc née iciAlors, être en Inde, c’est un choix ? A quel moment ?J’ai jamais vécu autre part, j’ai une culture française, mais l’attrait de l’Inde a été plus fort que celui de l’Occident. C’est ma maison, c’est chez moi. Depuis que je suis née enfance très heureuse, j’ai appris le Tamoul, tous mes amis sont Indiens. En fait lorsque j’étais petite, je ne sentais jamais que j’étais blanche. C’est les adultes qui ont commencé à me faire sentir que j’étais blanche, les adultes ont commencé à me regarder différemment. Mais c’est vrai, lorsque j’étais jeune, je pensais aussi que l’Occident était beaucoup mieux que l’Inde et je rêvais d’aller en Occident. Je suis allé la première fois lorsque j’avais neuf ans et je voulais rentrer en Inde assez vite, j’ »étais pas comme tout le monde, j’avais un accent, j’étais différente des autres enfants, je ne me sentais pas aussi à l’aise que les autres enfants, même si j’ai fait du ski et découvert la neige que je n’avais jamais vue. Et plus tard ?Je suis allé faire mes études à Londres à 18 ans ; Londres est une belle ville, très chère, , très dure, j’avais le reverse culture shock , pas de soutien familail, moral, pas d’espace. IL ya trop de gens centrés sur eux-mêmes, cela m’a fait grandir également.J’ai lu un article de vous dans le Hindustan Times, où vous dites nous en parlant des Indiens…J ‘ai fait un choix qui n’était pas intellectuel, mais un choix spontané de mon identité indienne. Cela ne veut pas dire que je rejette mon identité française – mais je n’rai jamais vécu en France, hormis de brèves visites. Je suis très peu connue en France, excepté une interview de France 2.Pourquoi le cinéma ?J’ai toujours adoré le théâtre, j’en faisais à l’école, puis comme je vous l’ai dit, je suis parti l’étudier à Londres. Aussi j’ai appris le sriptwriting, l’histoire du théâtre, les grands écrivains de théâtre, les classiques etc. Premier choix l’Inde, deuxième choix le théâtre. C’est très thérapeutique, il faut chercher beaucoup plus au-dedans de soi, et on découvre combien nous sommes fragiles, nous sommes tous des acteurs, chacun a différents masques, ce qui me fascine c’est comment on passe d’un masque à l’autre dans la vie, sans s’en rendre compte. Le théâtre et le cinéma, c’est passer d’un masque à l’autre consciemment et à volonté. L’évolution personnelle c’est de se perfectionner moralement et intellectuellement et spirituellement et je crois que le théâtre peut nous aider ààhâter ce procédé. La spiritualité indienne soutient cette théorie, même si je suis pour un cheminement personnel et je ne pratique pas de spiritualité mais le théâtre est une sorte de méditation. Il y a de choses que je ressens quand je fais du théâtre qui ne sont pas explicables, qui vous portent « quelque part »comment se passe le choc de la femme blanche en Inde dont vous parlez ?Cela commencé très jeune dès 11 ans, les garçons qui venaient me parler par ce que j’étais blanche, et ils n’avaient pas le même respect pour moi que pour les Indiennes. Quand on est enfant on pense pas de trop si non je serais devenue folle. Mais cela se passe toujours dès que je vais quelque partQuelles ont les causes ce cette impression qu’on les hommes indiens que les blanches sont des femmes faciles ?Ils regardent des épisodes américains comme Baywatch et ils pensent que cela se passe comme cela dans la vie. Ce qu’on connaît de l’Occident en Inde, à travers la télévision, ce sont des séries Hollywood très bas de gamme, comme Baywatch ou Bold and Beautiful, ou alors ces blockbusters sans qualité intellectuelle. Les Indiens ont très très peur de ce qui va se passer. En même temps, on veut l’occidentalisation à outrance, les super marchés, les voitures, les produits de consommation, mais en même temps et on reste très moraliste : « one ne peut pas perdre nos valeurs indiennes », etcEnormément de produits veulent renre la peau blancheOui, il y a une obsession de la peau blanche ici,. Moi, pendant longtemps, one ne m’a offer que des rôles caricaturaux de Blanche et je leur répondais que je » suis noire dedans, mais comme Astérix, je suis tombé dans une marmite qui m’a rendue blanche » ! Fair & Lovely a même essayé de vendre une crème pour blanchir le vagin ! Il ya aussu ce miroir de Bollywood qui montre de plus en plus des figurantes occidentales qui se trémoussent, ce qui peut donner l’impression que les blanches sont faciles.Et (http://faciles.Et)le puritanisme que l’on retrouve dans le cinéma indien, où on a toujours pas le droit de montrer des acteurs qui s’embrassent sur la bouche ?Je crois que la colonisation britannique a imposé une culture victorienne qui perdure en Inde, alors que c’est le pays du kama sutra. Alors les jeunes en Inde, ne savent plus très bien où ils trouvent, ils ont envie de liberté et en même temps, ils sont emprisonnés dans le carcan de leur culture.C’est un problème pour vous ?Oui, c’est un problème avec lequel je vais devoir vivre toute ma vie : j’ai la peau blanche et mon cœur est noir…Parlez-nous de votre carrièreQuand je suis rentré en Inde de mes études de Londres, j’ai d’abord cherché du travail dans les théâtres de Bangalore et finalement j’ai obtenu une audition pour une pièce de théâtre à Bombay. J’ai été prise et je me suis installée à Bombay. Je vivais en étant mannequin et j’écrivais des scénarios. Mais on me proposait toujours des rôles stéréotypés avec des minijupes et des danses Bollywood. Et finalement on m’a proposé en 2007 le rôle d’une prostituée dans Devi en Hindi, et j’ai dit d’abord je ne parle pas bien Hindi et je ne suis pas Indienne. Alors ils m’ont dit pas de problème, voici le script en Anglais et ils l’ont adapté pour moi. Puis j’ai rencontré mon futur mari, Anurag, qui m’a proposé un rôle important dans son prochain film – à condition que j’ apprenne à parler le Hindi en 2 mois ! J’ai dit oui tout de suite. Pendant le film, il a été très correct, mais lorsque le tournage a été terminé, il m’a demandé de sortir avec lui Les hommes à Bombay ? Superficiels ! Ils sont très conscient des leurs images à Bombay, tout le monde veut être un mannequin ou un acteur et cela ma ‘a repoussé. Je disais que j’avais déjà un copain ! Anurag était différent. Il n’avait pas d’image qu’il projetait et c’était rafraîchissant. Je lui disais que c’était top bateau, le metteur en scène et son actrice, en plus il était marié, et c’était un peu de trop pour moi, mais cela s’est passé.Parlons de Yellow Boots ?Ce fut un grand succès en Inde. Il est même sorti en Allemagne, en Belgique, en Amérique et en Angleterre, mais pas encore en France. C’était mon rôle le plus dur. Je pense toujours que j’aurais pu faire mieux. J’ai aidé à écrire le scénario d’ailleurs. C’est l’histoireC’est un fim d’artMes valeurs ne sont pas l’argent, mais les films Bollywood, même s’ils ne reflètent pas la réalité indienne, c’est souvent n’importe quoi, c’est de l’escapsism, mais en même temps, cela émane aussi de l’ancienne culture indienne, avec ses chants et ses danses et son indianité. ET les films de Bollywood reflèrent également cette grande qualité indienne qui est celle de l’’espoir : même lorsque vous êtes au fond du trou, il y a la lumière au bout. C’est pour cela qu’il y a toujours beaucoup d’effets dramatiques dans les films de Bollywood et puis ces happy endings, qui peuvent sembler à certains un peu kitch et à l’eau de rose. Tout ce qu’on a en Inde, la culture, la religion, c’est pour rêver et on croit tellement en Dieu, on a un Dieu pour tout, afin d’espérer. Et je crois qu’il y a cela dans BollywoddVous défendez donc Bollywood ?Non, non, je ne peux plus regarder des films de Bollywood, tellement c’est toujours la même histoire. Il ya toujours ces fille super sexy et ces froufrous et pour justifier cela, on ajoute quelques pincées de leçons morales et tout se finit bien..Pourquoi cela marche-t-il si bien ?Parce que le gouvernement dit vous n’avez pas d’eau de routes d’électricité, mais vous avec le cinéma et la télévisionIL y a un nouveau cionéma qui émerge en Inde ?Oui, un cinéma commercial, mais qui essaye de refléter plus la réalité indienne, comme les films de qui fustigent la corruption et le pouvoir autocrate. Comme les ffimls de Shar Karivar qui a dirigé Kaminé. Änsing Tomar, très beau film aussi , l’histoire d’un coureur oublié qui esty devenu un bandit, tr§s bon filmEt des acteurs ?Prynaka Chopra, une actrice intelligente, qui a commencé vers Bollywood et maintenat. Vidya Balan qui fait des films différentsOn revient à la France :il y a là bas un vériutable engouement pour Bollywood. Qu’enpensez-vous ?Les Français ont dès fois des obsessions bizatrres, c’est aussi la mode, les vêtements, les costumes, lmes danses, il ont aussi perdu leurs valeurs plus que nous.Que pensez-vous de la censure dans le cinéma indien ?IL ya une grande confusion. Quand vous voyez les vieux films indiens, ils étainbet beaucoup pluus mûrs sexuellement comme Umran Jan, maintenant aujourd’hui onsait dire des gros mots, on fait bbeauoup de violence, mais àà l’intérieur on arrive pas àà cerner le sujet. Unfim qui parle de la sexualité Life in the Metro, deux adultes complètement habillés qui parlment duis ex, est censuré, mais les films de >Bollywood, où les filles sontf àoà moitié désabillées et font des gestes obcénes, passe la censure. Le premier film que j’ai fait oàù je joue une prostitué, n’a pas de scènes explicites, justelent pour contourber la censure. Mais pour moi, cela ne fait rien, c’estr le personnage qui compte. Je reçois pas assedz de scénarios à lire, àà part des rôles de blanche stéréotypée, ou alors des films totalement commerciaux, où la femme est juste un prop. Souvent aussi les scénarios sont tr !ès décousus et partenbt dans tous les sens. En plus il y beaucoup de plagiat dans les scénarios indiens qui reprennent souvent des films de Hollywood scène par scène, pourtant on a tellment àà dire en Inde. Par exemple Udan la relation entre le fikls et le père dans une petite ville en Inde, cela eu du succès et tout le monde a ressenti qu’il y avakit quelque chose.Slumdog millionnaiureLe grand problème c’est que le film j’adore Dany Boyle, mais l’accent de sgens n’étiatpas ddu tput indien, des gens des slums qui parment avec un accent anglais, alors cela me dérange et l’image de Bombay qu’il dpéient est une cariucatiure. J’ai pas compris ce film, c’était bien fait, mais c’était l’Inde pour l’Occient ce que l’occident pense de l’Inde, c’est pour cel que cela a eu tellment de succès en Occidentfim indien qui conseillez aux FrançaisLes films de Guru Dutt, Bhardwaj Maqbool, basé sur Macbeth de Shakespae, mais fait àà l’Indienne. Le plus grand acteur indien Amitabh et Salman Khan aujourd’hui, tout le monde veut le copier, c’est une véritable adoration. Mais moi je préfère Rambir Kapoor jeune masi essaye de faire bouger les choses, Rockstart, Rocket Singh etc. Irfan Khan très bon acteur classique,mais n’a jamais eu la répitation squr’il méritaitVoitre avenirEn Inde biedn sûr, Je ne veux pas d’enfants, ma carrière mon mari l’Inde mon pays
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